1. Marie parle notre langage : celui du cœur…

©photo : Gietrzwałd, Poland (photo: Albert Jankowski / Wikimedia Commons

En 1877, Marie choisit un petit village de Pologne pour se manifester, signifiant ainsi combien elle se fait proche du désarroi d’un peuple opprimé : la Prusse, l’Autriche et la Russie ayant annexé son territoire.

Dans le contexte de l’époque, les intimidations et vexations des occupants iront jusqu’à interdire de parler le polonais et expulser le clergé et les religieux qui prennent la défense des persécutés.

Comme à Lourdes, Marie va s’adresser à Justyna et Barbara dans le dialecte local qu’elles utilisent. Soulignant ainsi tout le respect qu’elle leur porte.

 

Et nous ? Comment réagissons-nous au quotidien, devant les mises à l’écart que parfois nous subissons du fait de notre foi ?

Savons-nous affirmer au nom de notre foi -et pas seulement en nous taisant- que le mal n’est pas le bien… !

Même si la société veut nous convaincre du contraire ?

Barbara demande ce que désire la Vierge Marie, qui lui répond :

« Je souhaite que vous puissiez prier tous les jours le chapelet. » (30 juin)

Comme elle y tient, notre Mère, à ce cœur à cœur avec elle qu’est la prière du chapelet !

Cette prière Mariale qui, comme une chaîne, relie tous les sanctuaires qui lui sont dédiés dans le monde. Prière qui nous fait remonter à la source d’eau vive qui du Crucifié, fait renaître la justice et la paix… En somme : l’espoir !

Il est à noter que les apparitions se situent  précisément à l’heure de l’Angélus du soir…

 

Et nous ? Avons-nous compris que cette prière c’est d’abord Marie qui prie avec nous… et que c’est le moyen de nous fixer dans SA prière ?

Afin de vivre comme notre Mère dans l’amour de son Fils.

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