Dans son décret du 22 mai 2016 (reconnaissant ces apparitions comme authentiques pour l’Église Universelle, Mgr Cardelli dit que « Dieu s’est arrêté à San Nicolás…« Il s’arrête dans les âmes qui en ont besoin. Nous en avons besoin, notre pays en a besoin, le monde en a besoin. »
Prenons quelques instants pour ouvrir notre esprit et notre cœur aux paroles que nous fait entendre le Seigneur aujourd’hui par Marie, Reine du Rosaire
Le 24 sept. 1983, mystérieusement le chapelet s’illumine dans la maison de Gladys qui, avec la confiance des cœurs simples, commence par prier avec ferveur la Vierge Marie.
Et nous, devant ce fait inhabituel, comment aurions-nous réagi ? Aurions-nous eu ce simple réflexe de nous tourner vers Marie pour la prier… plutôt que de chercher une explication rationnelle ?
Le lendemain, (25 sept.), accompagnée de l’Enfant-Jésus, Marie se manifeste silencieusement à Gladys. Elle lui tend un rosaire.
Il est à noter que si Marie porte un manteau bleu (ce qui est « sa couleur »)
sa robe, quant à elle, est rose !
Rose : couleur de l’aurore.
Rose : couleur liturgique qui annonce
la fin des temps de l’Avent et du Carême…
De fait, Notre-Dame vient nous rappeler que le pénible cheminement de l’humanité – dans les temps si sombres de notre histoire actuelle – doit aboutir à la Lumière de son Fils Ressuscité.
Et elle l’exprimera (le 8 janv. 1983) :
«En ce moment, l’humanité tient à un fil. Si ce fil lâche, nombreux sont ceux qui ne pourront pas se sauver. C’est pourquoi je vous demande de réfléchir. Ne tardez pas car le temps prend fin, et il n’y aura plus de place pour celui qui sera en retard» »
Cela ne rappelle-t-il pas la mise en garde de Jésus dans sa parabole des dix jeunes filles invitées à la noce ?…
Et nous, savons-nous lire les « signes des temps » que nous vivons, là, maintenant ?
Avons-nous compris que nous ne vivons pas « la fin du monde » mais, que toute vie a sa fin et que nous devons « réfléchir » à ce que nous faisons de ce temps qui nous est accordé ?


